Assita Kanko lance un incubateur pour les femmes en politique
Source: L’Echo
Assita Kanko, conseillère MR à Ixelles, veut aider les femmes qui se lancent en politique. Le 7 février, elle inaugure Polin, une plateforme de rencontre et d’échange de bonnes pratiques.
Pas facile, même de nos jours, pour une femme de se lancer dans l’arène politique, qui demeure un monde très empreint de testostérone. Pour encourager et aider celles qui ont l’ambition de se mesurer aux hommes sur leur terrain de jeu favori, celui du pouvoir, Assita Kanko, conseillère communale MR à Ixelles, lance une initiative originale.
Le 7 février prochain, elle portera sur les fonts baptismaux Polin, sorte d’incubateur politique qui doit permettre aux politiciennes en herbe d’acquérir les compétences de base pour se lancer dans le grand bain.
L’idée a germé à partir des Journées nationales des femmes élues, qui se tiennent tous les ans à Paris. Assita Kanko y avait prononcé un discours et elle en était revenue avec la conviction qu’il faudrait la même chose en Belgique.
Cliquez ici pour lire l’intégralité de l’article publié par L’Echo le 24 janvier 2018.
Assita Kanko, conseillère MR à Ixelles, veut aider les femmes qui se lancent en politique. Le 7 février, elle inaugure Polin, une plateforme de rencontre et d’échange de bonnes pratiques.
Pas facile, même de nos jours, pour une femme de se lancer dans l’arène politique, qui demeure un monde très empreint de testostérone. Pour encourager et aider celles qui ont l’ambition de se mesurer aux hommes sur leur terrain de jeu favori, celui du pouvoir, Assita Kanko, conseillère communale MR à Ixelles, lance une initiative originale.
Le 7 février prochain, elle portera sur les fonts baptismaux Polin, sorte d’incubateur politique qui doit permettre aux politiciennes en herbe d’acquérir les compétences de base pour se lancer dans le grand bain.
L’idée a germé à partir des Journées nationales des femmes élues, qui se tiennent tous les ans à Paris. Assita Kanko y avait prononcé un discours et elle en était revenue avec la conviction qu’il faudrait la même chose en Belgique.
Cliquez ici pour lire l’intégralité de l’article publié par L’Echo le 24 janvier 2018.